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Quand la langue éparpille ton émoi.

Quand la langue éparpille ton émoi.
  • " J’ai cru être réveillé par un rayon de soleil mais il était 4 heures du matin, ma lampe de chevet était restée allumée, tu n’étais pas dans mon lit et il neigeait dans mon téléviseur. "
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23 janvier 2007

Hear me tonight

Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop . Tu parles trop .

gnia

Juste envie de vous faire écouter ça :

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22 janvier 2007

Vendredi soir, 2h00 du mat' :" Bébé ? Je...

Vendredi soir, 2h00 du mat' :
" Bébé ? Je... "

17 janvier 2007

De toi à moi.

lalalaJe suis un complexe ambulant. Un catastrophe capillaire. Un atrophie mammaire. Une excroissance fessiale. Non pas une fille de magasine. Je suis une boulimique qui n'se fait pas vomir. Taille moi les hanches à la hache. Je n'suis pas dans les critères. Je suis un "Je" de trop. Il est parfait. Il est regardé. Il est le stéréotype de celui que j'envie mais que j'n'aurais jamais. Et paradoxalement, il est à moi. Il me donne envie d'être à demain. Ou de ne pas y être. Il me protège. Il m'interprète. Il me prend comme je suis. Avec je mes je défauts je. Il sourit, avec ses dents parfaitement blanches et son sourire Colgate. Il a des yeux qui expliquent tout. Tout les moindres détails. Il sourit avec ses yeux aussi. Et il est là, tout près.
Il pose ses mains sur moi.

12 janvier 2007

Blablabla.

nwasetteAu pire c'est pas comme si ça f'sait une semaine que j'attendais, on est plus à ça près. Tu sais quoi j'ai le scoop du jour ?! Nan ... ! Nan ... ! NAAAAAN.... ! Recherche un *.doc de trois soirées de travail. Faichiai. Tout c'que j'ai j'le perds. Mes affaires, mes ami(e)s mais lui j'compte bien l'attacher. Avec du sparadra, de la colle UHU (qu'on sait même pas pourquoi ça s'appelle comme ça), des scratchs, du double face, d'la pate à fixe même si ça tiens pas parce que avec tout ça ça devrait tenir quand même. L'attacher à mes doigts. Et attacher ses doigts à mes cheveux. Parce que j'aime bien quand il passe la main dans mes cheveux. Coiffeur, il faut que j'aille chez le coiffeur. Mais pas trop court, j'aime pas les choses courtes. Sauf les cours de philo (qui malgré qui soient cours sont pas court du tout). Mais la bio ça va. Et même que le prof fait des vannes sans même s'en rendre compte. Début du cycle? Ca coule de source. Mais oui bon sang ! J'aurais tilté ils auraient rit, comme quand ils rient aux blagues de Simon. Parce que Simon il cogite vite. Comment on écrit "cogiter" ? En même temps c'est pas grave si ça s'écrit pas comme ça. Voilà Claire. Son oeil il sourit, mais le mien il rit. Ca aurait pu être découpé d'une photo quand il me dit des choses jolies. Parce que mine de rien, j'aime bien. Ouais, j'aime bien. Plus que bien. J'ai envie de prendre des photos, des belles, des photos que les gens y mettent sur deviantart et qu'ils mettent un copyright pour faire genre. Moi aussi j'veux des copyrights, mais j'en suis incapable. J'vais lui coller un copyright sur le coeur. Plus que 20 minutes. Cap jusque 20 j'écris sans m'arrêter? Cap ! Toujours Cap de tu-sais-quoi? J'ai envie, envie. D'avoir la tête juste en dessous de son cou. D'avoir la tête ailleurs. Dans les nuages. Nuages? J'ai envie de chantilly, de chocolat, de vermicelles et de ses bras. Non, tu peux pas continuer à écrire, fais ta philo. Ta philo. Je teste, j'expérimente. Je ne suis pas un chien t'as vu Stella? Ca t'aide 'achement j'suis sûre. J'ai envie de pouvoir utiliser des mots compliqués dans une conversation simple. Salut, tu vas bien ? Et niveau psycho-mentalo-apocalyptico-dépressivo-maniaco-chronique ? Tu trouves pas que j'suis grosse ? Si t'es grosse ! T'es obèse ! Grosse vache ! Nan mais regarde sans vêtements on serait dans la merde, à part peut-être C******* et son métabolisme. Et sa graisse oui ? Mickaël m'a mis un coup de queue à midi. Et ça les fait rire. Avec leurs pics de testostéronimie là. C'est quand même dingue la vie. Il est 18. Je tiens je tiens. Ca sert à rien. Je voudrais une télécommande comme Piechounetchéri pour arrêter le temps et pas que sur Léo. Sur tout, comme ça, pas de dissert' a rendre, pas de tête à se prendre, pas d'envie de se pendre.

Tu sais pourquoi les filles se maquillent et se parfument?
Parce qu'elles sont moches et qu'elles puent.

24 décembre 2006

T'es crispée pour une fille à poil.

T'es crispée pour une fille à poil.

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5 décembre 2006

Il fait nuit sur toi. Laisse moi reparaître dans les yeux d'un autre.

happyMon cher qui n'est plus si tendre,

Pourrais tu reprendre tes affaires et déserter cet appartement qui me servait de coeur, ou plutôt ce coeur qui te servait d'appartement?
Rassemble tes mots d'amours épars dans une enveloppe en papier kraft, emballe les souvenirs en vrac dans du papier bulle et fais le tri dans mon organe affectif, s'il-te-plaît. Car nan, je n'en ai pas le courage. Range les vinyls des bandes originales de notre amour dans un grand carton, les tickets de cinéma, les billets de train et les photos de nos sourires figés dans une boîte à chaussure. Et va t'en...
Laisse le temps recouvrir de poussières les étagères, jaunir les photos qu'on regardera le sourire aux lèvres, plus tard. Et oublie moi. Mais pas trop. Juste assez pour ne plus dire toutes ces choses qui me retournent encore. Pas trop pour que tu n'puisses plus mettre de prénom sur mon visage ou de sentiments sur nos souvenirs.
Non, non, je n'pourrais jamais t'oublier. C'est évident. On oublie pas quelqu'un à qui l'on a dit "Je t'aime" les yeux embués, pour qui on aurait mis les pieds dans l'eau et les doigts dans la prise s'il avait fallu, quelqu'un qui a laissé une effluve de parfum sur notre oreiller. Mais tu l'as décidé ainsi.
Ce serait facile de tout faire pour rejetter la faute sur toi, te rendre coupable de l'arrière goût amer d'un nous, du vide que tu a laissé derrière moi il y a quelques mois, mais je n'en ai plus l'envie. On dit qu'il faut se faire une raison. Bien sûr que ça aurait pu être différent, complétement, mais c'est comme ça que ça s'est passé et pas autrement. Ca me réconforte peut-être un peu que ce n'soit pas le temps qui ai eu raison de notre amour, que tu ne m'aies pas trouver une excuse banale, un "J'ai besoin d'être seul" pour m'éviter un "Je ne t'aime plus" ou "J'ai rencontré quelqu'un d'autre", histoire de me ménager un peu. Bref.
Tu te demandes peut-être pourquoi je te demande ça aujourd'hui ?
C'est simple. Quelqu'un a fait réapparaître un sourire sur mon visage. Tu peux me juger, me dire que c'est trop tôt, que je t'aimais pas autant que je le prétendais et je n'aurais pas d'excuses valables à te donner juste un balbutiement de "Je n'ai pas choisi, il m'est tombé dessus par hasard, si j'avais choisi ça n'se serait pas passer comme ça..." que tu n'croiras peut-être pas. Ou tu m'diras que tu t'en fous, que tu veux que je sois "heureuse" et que je t'oublie et dans les deux cas, je souffrirais devant le fait accompli de tes reproches ou ton je-m'en-foutisme... mais oui, il est là.
Et, malgré vos jugements, vos reproches, vos "c'est trop tôt, non mais quelle salope regarde moi ça", il le restera.
Je place beaucoup d'espoir en lui, quitte a foncer dans un mur tête baissée, je préfère ça plutôt que me morfondre dans un tas de regrets et de kleenex. Advienne que pourra.



 

 

6 novembre 2006

Six feet under?

Envie de partir vivre six pieds sous terre. Ne plus voir les autres. Et ces choses connectées à mes yeux par un circuit électrique qui disjoncte. Mon coeur qui s'emballe. Mon ventre qui fait mal. Des milliers de p'tites choses qui me tordent les entrailles.
Aïe.
Des choses qu'on appelle souvenirs. Connes et inutiles. Ou au moins tout autant que celle qui écrit ça, en reniflant les yeux embués d'envie d'encore.
Alors c'est ça qu'on appelle "le mal de toi" ?
J'voudrais devenir amnésique des nous, et non mélancolique des tu. Pouvoir y repenser et sourire. Prendre le bus parce que maintenant j'suis prévenu.
Mais rien n'y fait. Une nausée due par le paysage qui n'défile plus. L'impression de vivre à reculons. De s'être imaginer trop de choses, trop loin et être ratrapée par le présent. La précipitation des choses. Et tomber de haut, encore une fois, en sortir encore un peu plus amochée. Tu peux me mettre en pièces si tu veux, on est plus à ça près. Même si je préferais quand tu m'esquintais autrement. Un peu plus tendrement.
Tu.Je.
Rien.
Du rien en plusieurs morceaux. Ou du tout. Des trucs éparpillés qui cachent tous une immense impression de vide.
Envie de plus penser à rien. Prendre un Lexomil et mourir sous la couette où se cache encore un ectoplasme translucide aux contours de ton corps. Qu'il remue le couteau dans la plaie une bonne fois pour toute qu'on en finisse. J'aimerais que tout ça finisse ou que rien ne se soit jamais fini.
Pour empirer les choses j'aurais pu décider de mettre la bande originale de notre histoire. Ces trois accords de piano superposés aux battements d'ton coeur. C'est le mien qui gémit ce soir.
Envie de rien.
De TOI.
C'est con à dire... mais j'y peux rien.

Y'a des soirs comme ça où rien ne va.

1 novembre 2006

Lassitude chronique

Lisa_on_the_couch_two_by_lloydhughes


N'être jamais contente de rien. Se lasser quotidiennement. Instable.
A ce point, on peut presque parler d'un éternel recommencement ?
A dans une semaine pour un nouveau premier article.

PS: Tentative de stabilité avec cette nouvelle bannière qui dépote sa race qui n'est pas de moi (était-ce la peine de préciser?), peut-être que j'm'en lasserais moins vite... Qui sait?
PS²: Les photos sont de lui <3

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